Nous remercions l’ensemble des participants au Concours photo Miss Numerique 2025 ! Vous avez été très nombreux à nous envoyer vos magnifiques créations, sur le thème : Un rêve éveillé.
L’équipe a longtemps délibéré et nous sommes très heureux de pouvoir vous présenter les 24 photos finalistes ! Bravo à eux ! C’est maintenant à votre tour de choisir votre photo préférée, jusqu’au 29 mai. Parcourez ci-dessous les 24 photos retenues et rendez-vous sur ce formulaire pour voter !
Le gagnant du Prix du public sera annoncé le 30 mai, bonne chance à toutes et à tous !
Retrouvez sur cette page, tous les détails du Concours Photo Miss Numerique 2025.
PHOTO 1 : Alexandre Faudot

Sony A6700 + Sigma 10-18mm
f/3.2 – 1/30 – 100 ISO
À marée basse, le bateau dort, incliné comme s’il rêvait encore.
Le ciel s’embrase, illusion ou réalité ? Tout semble figé entre nuit et lumière, entre sommeil et veille.
C’est un instant suspendu, irréel, où le monde devient tableau, l’imaginaire prend le dessus sur le réel.
Je ne sais plus si je contemple le ciel ou si je rêve les yeux ouverts.
PHOTO 2 : Arnaud Point

Canon R7 + Sigma 18-50mm
f/2.8 – 1/125 – 100 ISO
La scène, baignée de couleurs douces et d’éléments surréalistes , comme ce nuage suspendu en plein ciel intérieur ou ces marguerites dispersées comme des pensées légères, évoque un univers onirique. La jeune femme, yeux fermés mais ornés de dessins d’yeux ouverts, incarne cette dualité propre au rêve éveillé : elle est présente, éveillée physiquement, mais mentalement plongée dans un ailleurs. Son expression paisible, presque absente, laisse deviner un voyage intérieur.
Le bol rempli de fleurs et les objets décalés, comme la tasse rose en forme d’éléphant, ajoutent une touche de fantaisie propre aux rêves. Ils transforment une scène quotidienne, le petit déjeuner par exemple en un moment suspendu, hors du temps, où tout devient possible.
Ainsi, cette photo nous invite à entrer dans un état de rêverie consciente, où l’imagination prend le pas sur le réel, et où l’ordinaire se teinte de merveilleux. C’est un rêve, oui mais éveillé.
PHOTO 3 : Marion Coulomb – Thibaud Ponce

Nikon Z6+ Nikoor Z 27-70mm
f/2.8 – 1/160 – 1000 ISO
Dans ce paysage, le volcan et les corps semblent endormis, la photographie elle-même a été prise pendant le soleil de minuit en Islande, les lignes se montrent lunaires. Le rêve est là. Pourtant la posture surréaliste des deux corps dans ce cratère terrestre se montre réelle, et forme par surprise la pupille d’un œil grand ouvert, qui nous observe, bien éveillé.
PHOTO 4 : Christophe Demigné

Nikon D850 + Nikkor 24-70mm
f/8 – 1/2 – 400 ISO
À travers une porte surgit une femme, menant vers une bambouseraie endormie. Une enfant est assise au milieu du chemin. Souvenirs d’enfance figés, à la frontière entre rêve et réalité.
PHOTO 5 : Cyrille Parry

Sony A7 R V + Sony 20-70mm
f/8 – 1/160 – 100 ISO
Évocation moderne de la fresque de Michel-Ange, cette scène met en dialogue l’innocence et la quête, l’imaginaire et le réel. Dans un rêve éveillé, les nuages deviennent matière, les corps des allégories, et le geste, un pont entre deux mondes.
PHOTO 6 : Cyril Ruchet

Fujifilm XT20 + Fujinon 18-55mm
f/6 – 1/300 – 400 ISO
Dans la brume douce du petit matin, un pêcheur solitaire se tient dans les eaux limpides de la Soča. Le soleil naissant caresse la surface du fleuve, et tout semble figé, suspendu dans un souffle de silence. La nature retient son souffle, comme si le monde hésitait à se réveiller. C’est un instant fragile, irréel — un rêve éveillé où le temps s’efface, où l’âme flotte, portée par la lumière et la paix du jour qui commence.
PHOTO 7 : Leïla FABBI

Sony A7R III + 35mm
f/4 – 1/500 – 800 ISO
Sous la surface de l’eau, tout semble irréel. Le personnage, onirique, semble pourtant attiré vers la surface, la sortie du rêve, c’est pourtant son reflet que l’on distingue dans ce miroir étrange. Où se trouve le rêve, où est la réalité ?
A l’image même de l’organisation qu’à nécessité cette photo, où, toute l’équipe se trouvait dans une sorte de bulle de synergie technique et créative. Tous plongés dans un rêve éveillé, le temps de la fabrication de notre petite merveille.
PHOTO 8 : Hugo Henry

Fujifilm XT2 + 18-55mm
f/8 – 1/250 – 1600 ISO
Je souhaite que devant cette photographie le temps et l’espace se confondent. Que le spectateur se perde dans l’image comme lorsque nous tombons dans la première phase de notre sommeil et de nos rêves. Un monde confus et onirique presque à la lisière de l’Olympe du temps romain.
PHOTO 9 : Jérémy Baillon

Nikon Z8 + Nikkor Z 180-600mm
f/6.3 – 1/320 – 100 ISO
J’ai choisi cette photo car l’instant vécu semblait tout droit sorti d’un rêve. Le soleil couchant baignait la scène d’une lumière dorée, douce et chaude. Devant moi, comme sorti de nul part, ce brocard mangeait tranquillement, comme s’il m’autorisait à partager ce moment d’intimité avec lui.
C’était un de ces instants rares où le temps s’arrête, où le sauvage se laisse approcher sans crainte. Des moments simples, mais si précieux, qui donnent la sensation profonde de vivre un rêve… éveillé.
PHOTO 10 : Juliette Jourdain

Nikon D850 + 50mm
f/8 – 1/125 – 100 ISO
Être éveillé, mais avoir encore la vue toute embuée par le flou de nos rêves, la tête dans les nuages.
Il s’agit ici d’un autoportrait pour lequel j’ai tout réalisé (maquillage/coiffure, lunettes, éclairage, prise de vue, retouche).
PHOTO 11 : Olivia Ferry

Sony ILCE-6700 + Sigma 24-70mmm
f/22 – 1/6 – 50 ISO
Elle avance vers l’invisible, happée par l’inconnu.
Le monde autour d’elle s’efface, ne laissant que la trace d’un rêve dont on ne se souvient jamais vraiment
PHOTO 12 : Madame Tomate

Canon EOS 6D + 50mm
f/5.6 – 1/160 – 100 ISO
C’est l’histoire d’une clown, rêveuse, aux teintes rouges fanées, qui semble figée dans une époque où la magie du cirque brillait encore. Entouré de mystère et d’étoiles artificielles, souhaite t-elle revenir sous le feu des projecteurs ou s’effacer dans une douce mélancolie des restes de ses rêves d’enfant ?
Série > Les Bécasses
PHOTO 13 : Manuel Biabiany

Nikon D810 + Nikkor 70-200mm
f/2.8 – 1/500 – 3200 ISO
J’ai choisi cette photo pour son côté énigmatique comme un flottement entre deux réalités.
Un voyage entre l’éveil et le monde des rêves de cette danseuse lors de sa première représentation sur scène.
PHOTO 14 : Marion Kabac

Canon 6D II + Sigma 35mm
f/1.6 – 15s – 6400 ISO
Sur les versants du très aérien Queyras, les nuits sont enchantées et les poètes aiment rêver lorsque la Lune est absente. Une nuit de septembre, me voici là-haut à mon tour. Après une averse de saison, l’obscurité est tombée et les nuages ont refermé leurs ailes opaques pour se reposer plus bas, dans la vallée verdoyante. Très vite, me voici seule face à l’infinité étoilée, la mer de nuages mouvante sous mes pieds, la Voie Lactée éternelle et quelques vagues d’airglow au dessus de ma tête. Est-ce que les poètes naissent dans ces couleurs ? Cette nuit blanche fut mon plus beau rêve éveillé, et le panorama ainsi mis en scène par l’autoportrait me permet de ne jamais oublier l’intemporalité sublime de ce moment.
PHOTO 15 : Michael Darbellay

Sony ILCE-7RM5 + Sony FE 14mm
f/1.8 – 1/150 – 100 ISO
Il s’agit avant tout d’une expérience, d’une prise de recul par rapport au monde de la civilisation en perpétuelle évolution. L’absence de mouvement, de lumière et parfois même de bruit renforce la perception de l’énergie vitale du lieu qui nous accueille, et nous transporte dans une autre dimension, un rêve éveillé.
PHOTO 16 : Nathan Selighini

Sony A6400 + Sigma 30mm
f/3.2 – 1/100 – 100 ISO
Cette photographie est un Autoportrait qui mélange la réalité et le rêve, bras tendu vers des chimère , le personnage décoiffer et vêtue de draps passe d’un univers a l’autre comme un somnambule, le fil entre la réalité et le rêve et bien mince. Quand j’ai appris l’existence de ce concours photo, et que j’ai commencer a réfléchir a la photo, la nuit même j’ai rêver de cette image, donc c’est un espèce de cercle vertueux de moi qui essaye de tordre la réalité pour qu’elle ressemble a mes rêves.
PHOTO 17 : Hélène Ourties

Canon 550D + EF 70-200mm
f/13- 1/4000 – 400 ISO
Si tu es un oiseau, rien d’autre
qu’un oiseau.
Au moment où le vent se lève,
tu t’envoles,
écarquillant ton œil rond, tu regardes
dans l’obscurité ce sacré bas monde.
Au-delà de l’étang des ennuis,
en vol de nuit, sans but précis.
A l’écoute du sifflement de l’air,
cœur battant…
Quelle aisance dans l’errance !
Extrait du poème de Gao Xingjian
PHOTO 18 : Pierre de la Saussay

Pixel 8 + Téléobjectif
f/2.8 – 1/560 – 100 ISO
Prise dans les étendues mouvantes d’Ulaagchni Khaar Nuur en Mongolie, cette image saisit l’instant où rêve et réalité se confondent. Les dunes, sculptées par un vent invisible, dessinent des vagues figées dans un temps suspendu. Au sommet de cette crête éphémère, une silhouette court, son voile déployé comme des ailes improvisées. Elle incarne notre désir d’envol, cette liberté que l’esprit s’octroie même quand les pieds foulent encore le sol. Le désert devient alors le théâtre de nos échappées intérieures, où chaque grain de sable emporté par la brise rappelle nos pensées vagabondes, et où l’horizon sans fin promet des voyages sans départ.
PHOTO 19 : Rachel Daucé

Canon 6D + TS-E 24mm
f/11 – 1/125 – 100 ISO
J’ouvre un œil, et puis l’autre, à regret. Je n’ai pas envie de sortir de ce rêve récurrent, dans lequel je découvre dans ma maison une pièce dont j’avais complètement oublié l’existence.
Nichée derrière une petite porte, elle est parfois peuplée d’une végétation dense et parfois d’animaux étranges.
Comme la nature, elle est là quand j’en ai besoin.
Je me réveille complètement, et j’épluche l’actualité. Déclin des insectes, disparition des oiseaux, raréfaction des espèces, montée des eaux…
Si nous continuons à piétiner le vivant sans ménagement, la nature telle que nous la connaissons ne sera bientôt plus qu’un lointain souvenir, comme un rêve brumeux dont le fantôme nous hante pendant la journée qui suit.
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PHOTO 20 : Jeanne Quatresous

Sony A7 III + 24-70mm
f/2.8 – 1/500 – 320 ISO
Voici Lola & Deep. Lola est une cavalière que j’admire profondément, autant pour sa sensibilité que pour le lien qu’elle a construit avec son cheval depuis plus de 11 ans. L’été dernier, je lui ai proposé une séance photo afin de capturer ce que j’admirais chez eux.
Dans mon approche photographique, j’aime effleurer la frontière entre rêve et réalité, créer des images qui frôlent le conte et laissent à chacun la liberté d’imaginer l’histoire derrière les images.
Lors de la séance, Deep s’est couché pour la première fois en pleine forêt, ce qu’il ne lui avait jamais offert auparavant. Chez un cheval, c’est un geste qui montre un grand signe de confiance. C’est précisément pour ce genre de moment, que cette image incarne pour moi parfaitement l’idée d’un rêve éveillé.
PHOTO 21 : Tim Arnold

Canon 6D + 24-105mm
f/816- 1/125 – 100 ISO
Des conditions de ski de rêve à 3500 mètres d’altitude sur le glacier de Saas Fee.
PHOTO 22 : Vincent Facchini

Sony A7 IV + 2Tamron 28-70mm
f/4 – 1/200 – 2000 ISO
Au cœur d’une foule en mouvement, elle est figée. Présente mais ailleurs. Comme suspendue dans le temps, alors que le monde continue à tourner sans elle. Ce moment capte la sensation étrange d’être éveillé, mais déconnecté de la réalité. Une bulle silencieuse dans un vacarme social.
Ce rêve éveillé, c’est celui qu’on vit parfois les yeux grands ouverts, quand le corps est là mais que l’esprit flotte. Quand tout semble flou autour, sauf ce que l’on ressent profondément. L’étrangeté familière de ces instants nous rappelle que le rêve n’est pas forcément un monde parallèle — il peut naître au milieu de la vie réelle.
PHOTO 23 : Caroline Sauvegrain

Nikon Z6 II + Sigma ART 135mm
f/2 – 1/1600 – 125 ISO
Entre la réalité et l’imaginaire, un cheval fée s’ébat sur l’eau au coucher du soleil.
PHOTO 24 : Yaëlle Fau

Nikon Z6 + Nikkor 24-70mm
f/320- 1s – 100 ISO
On ne prévient pas le rêve : il s’infiltre dans la lumière du réel, il trouble les gestes et dissout les contours. Cette image capture cet instant précis. Elle n’attend rien, elle flotte . Comme un souvenir flou dont on ne sait plus s’il a existé.
Votez dès maintenant pour votre image favorite ! Vous avez jusqu’au 29 mai. Les gagnants sero,nt annoncés le 30 mai.
3 Commentaires
Picture n 5
La photo numéro 6 est la meilleur de toutes.
#5